J’ai souvent des appels de père et de mère qui s’inquiètent pour leurs enfants adolescents. Doués mais en difficulté. Ils souhaiteraient que les êtres qu’ils aiment le plus au monde aillent mieux, se débrouillent mieux, agissent plus, ou soient moins stressés ou isolés socialement.
En tant que père d’un atypique et atypique moi-même, je comprends cette souffrance.
À partir de 16-17 ans, il devient possible de travailler en coaching dans une logique d’autonomisation progressive.
Avant cet âge, les enfants ne sont pas assez conscients de leur limite pour travailler en coaching : je peux alors travailler avec les parents directement. Et il a toujours des exceptions.
Plus l’adolescent est atypique dans sa façon de construire le monde, plus il souffre de sa différence, plus le travail de conscience et de confiance en lui sera profitable et pourra commencer tôt.